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Nick Francis Motoring editor of The Sun.

Nick Francis

Rédacteur automobile du quotidien The Sun

keno

 “Ce qui m’impressionne particulièrement au niveau du Gocycle, c’est son accélération, sa vitesse et sa facilité générale d’utilisation, auxquelles il faut ajouter la possibilité de le personnaliser à partir d’une appli sur son téléphone. Voilà quelque chose de fort intelligent.”

Alors que je pédalais au milieu d’une rue bondée de Londres, en me retournant, j’ai vu qu’un bus s’approchait à toute vitesse. Redoutant que cet engin ne me frôle avant de me couper la route pour se rendre à son prochain arrêt, il m’a suffit d’appuyer sur le bouton pour que je file à toute allure. C’est à ce moment-là que je me suis rendu compte que non seulement mon Gocycle allait me permettre de réduire mes temps de trajet et de préserver mon énergie, mais qu’il allait me protéger et me donner plus de confiance sur les routes intimidantes de la capitale.

En tant que rédacteur automobile du quotidien The Sun, j’aime bien évidemment tout ce qui a un moteur et c’est avec les quatre roues que je me sens plus à l’aise. Je suis donc forcé de reconnaître que j’éprouvais une bonne dose de cynisme vis-à-vis des vélos électriques. Et ce, jusqu’à ce que j’enfourche le Gocycle. Mon travail consiste à tester les performances de voitures telles que des Porsche, des Audi et des Jaguar. Je m’intéresse aussi à la puissance des supermotos de performance.

Nick Francis Motoring editor of The Sun on his Gocycle.

Mais depuis que je circule partout dans la capitale sur mon Gocycle dans la plus complète liberté, je dois dire que je suis absolument converti. Dorénavant, les trajets pour me rendre à des rendez-vous sont devenus un véritable plaisir : prendre l’air et sentir le vent sur son visage bat à tous les coups le métro nauséabond ou les embouteillages en surface.

La tenue de route à proprement parler est un vrai délice. Je me suis bien rendu compte que j’ai provoqué l’envie des cyclistes et des piétons, qui restaient plantés à me regarder alors que je filais sous leurs yeux. Dans les villes surencombrées, le vélo électrique présente une alternative convaincante.

Ce qui m’impressionne particulièrement au niveau du Gocycle, c’est son accélération, sa vitesse et sa facilité générale d’utilisation, auxquelles il faut ajouter la possibilité de le personnaliser à partir d’une appli sur son téléphone. Voilà quelque chose de très intelligent.  Si vous vous sentez fatigué, vous pouvez laisser le vélo faire tout le travail, ou si vous avez envie de faire un peu d’exercice, vous n’êtes pas gêné pour le faire.

Je me suis retrouvé à n’utiliser les pédales que dans les rues secondaires étroites, en laissant l’électricité faire le boulot sur les routes principales grouillant de monde, pour combiner les deux lorsqu’il s’agit de grimper des côtes.

Reste à ajouter que le Gocycle a fière allure comme vélo électrique : il est dépourvu de toute batterie encombrante fichée sur le cadre. Toutes les courbes sont réfléchies et je lui trouve un look vraiment cool.

Et quand vous en avez assez, il ne vous reste qu’à le replier et à l’enfourner dans le coffre de votre voiture : c’est vraiment ce type de vélo qui me convient!

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